dimanche 8 novembre 2009

Changement de programme...

Moins l'quart, ouah, heureusement que j'ai mis le radio réveil, c'est durail ce matin, allez encore cinq minutes... allez encore cinq, de toutes façons il sonne toujours deux fois, comme le facteur, un quart d'heure en avance histoire de se ménager un petit répit.

Zou, debout ! C'coup-ci faut y aller, ça fait tôt mais avec trois quarts d'heure de route, une demie heure de préparation et deux fois un quart d'heure pour le chargement et le déchargement, il faut bien ça, six heures du mat', aussi tôt qu'en s'maine pour aller bosser, faut pas être bien quand même, tout ça pour aller rouler un dimanche matin... enfin, i'en a bien qui s'lèvent à onze heures pour aller au PMU.

J'suis bien motivé c'matin, j'ai bien manger mes sucres lents, pastas à volonté hier soir, je viens de me taper un bon p'tit dèj' des familles, avec une heure et demie de digestion ce s'ra nickel. Quel temps i' fait ? Short ou cuissard long ?

Tiens, comment ça s'fait que les lumières sont déjà allumées dehors, normalement c'est pas avant la demie ? Et comment ça s'fait qu'il fait aussi clair, d'habitude à six heures et demie il fait grand noir, c'est quoi c'bord...? Eh m.... !

L'horloge du four vient de me stopper net dans mon élan, comme le plomb d'sept de chez Décath' (Quechua, la nature on l'aime aussi comme ça) le pigeon d'argile, succédané de chair fraîche que des citadins boutonneux en mal de grand air et débordants de testostérone s'amusent à dégommer lors de ces grandes messes, odes à la poudre , aux armes et au machisme, organisées par des hordes de chasseurs en quête de quelques financement pour leurs futurs carnages ou beuveries pré ou post tueries, pompeusement rebaptisées sociétés qu'on appelle des ball trap, sept heures trente, je devrais être entrain d'arriver en vue de Saint Michel Mont Mercure et je suis toujours chez moi... le programme de ce fichu radio réveil a été changé avant hier et il n'a pas été remis hier soir.

Changement de programme donc, plus question d'aller chatouiller la Culminante et ses deux cent quatre-vingt dix mètres d'altitude, oui Môssieurs, parfaitement, mais alors où ? Je m'étais pourtant bien promis de ne plus jamais faire la rando du Bouchot à la Séguinière, trop mauvais souvenir, pas une sortie pour les VTTistes ça, c'est l'royaume des marcheurs là-bas, mais où alors ?

Tant pis, i'a qu'les imbéciles qui n'changent pas d'avis dit-on. Et puisque c'est juste à côté, pourquoi ne pas y aller en vélo après tout ? Adjugé, vendu, c'est parti mon kiki !

Me voilà donc sur les routes et chemins qui mènent à la Ségu' en passant par Saint André, mais décidément ce contre temps m'a bien atteint au moral, le coeur n'y est pas, en plus ce froid humide ne fait rien pour arranger les choses, quand ça va pas, ça va pas...

Tant pis, j'suis p't-être un imbécile finalement (et là le p'tit bonhomme en kaki, égaré sur ce blog, qui bout devant son écran depuis la onzième ligne, n'attendant fièvreusement depuis une heure , ben ouais attends 'y a même pas d'images, que d'avoir enfin fini de lire ce torchon, ramassi de billevesées et autres incongruités, tiens prend encore ça avant d'partir, de s'écrier "Un peu qu't'es un imbécile, et pas qu'un peu !"), demi tour, j'la f'rai pas cette rando du Bouchot, ni une autre ce matin d'ailleurs, c'est miteux mais après vingt-cinq bornes à vingt et un de moyenne j'suis d'retour au bercail. Pas d'quoi êt' fier...

Il y en a au moins deux qui sont contentes, c'est toujours ça d'pas perdu.

dimanche 25 octobre 2009

Snif...

Six heures et quart, la l'vée du corps, hors de question de me mettre à la bourre comme la semaine dernière et de me retrouver avec le p'tit dèj' qui joue au houla oups dans mon estomac au bout de dix bornes, que nenni mon seigneur, par deux fois l'on ne me prend point à faire la même erreur...

Encore une fois j'ai préparé toutes mes affaires la veille et lorsque moi et mon spad sommes respectivement chargés dans et sur l'auto, me voilà fin prêt à prendre la route en direction de Nuaillé pour sa randonnée du massif forestier du même nom. Il est à peine sept heures, je suis dans les temps, si tout se passe bien je devrais partir vers huit heures moins le quart, ce qui ne devrait pas me faire rentrer trop tard ('y en a une qui va être contente), encore faudra-t-il que j'arrive à bon port et sans trop avoir traîner en route... Pas sûr que cette fois ci j'arrive à nouveau à tenir vingts de moyenne.

Inutile d'arriver trop tôt, je me retrouve à discuter avec d'autres VTTistes en attendant l'ouverture des inscriptions qui n'est prévue qu'à huit heures (et m...). Heureusement les charmantes dames qui vont officier pendant une grande partie de la matinée à la collecte des menus oboles dont les VTTistes, cylotouristes (rien qu' le nom m'amuse... désolé) et autres piétons voudront bien s'acquitter sont des plus prévenantes et activent les choses pour nous permettre de partir sillonner les bois alentours et comme prévu, à moins l'quart je prends le départ.

J'ai hésité un moment sur coupe-vent or not coupe-vent mais la température est décidément on ne peut plus clémente et le ciel absolument pas menaçant, le maillot suffira amplement. Comme à mon habitude je mouline tranquillement pour commencer pendant quelques kilomètres. Cela s'annonce bien, à peine parti me voilà au beau milieu des bois et les chemins forestiers déroulent leurs longs rubans aux senteurs de feuilles mortes, de bois mort et de champignons vénéneux (pas si accueillants que ça finalement) et en plus ce n'est même pas gras, on m'a pourtant mis en garde avant le départ - "Il a bien plus, c'est tout plat, les ch'mins vont être gras !", bof, c'est plat c'est vrai mais c'est nickel propre ?..

Les kilomètres défilent et s'enchainent rythmés par des passages entre les arbres sur des singles glissants à cause des racines et de la boue qui fait son apparition dès que l'on s'écarte du droit chemin, les vingts premiers sont avalés en tout juste une heure, conforme à mes espérances mais je reste prudent, le final de la semaine dernière s'est avéré un peu difficile tout de même. Le premier ravito ne se présentera qu'au bout de soixante-dix-huit minutes (allez, allez, un p'tit effort pour se remémorer la fameuse règle de trois !), un peu tard à mon goût et les bénévoles qui sont là ne m'en annonce qu'un autre sur ma route, ça va être dur, très dur !

Me voilà reparti, ça déroulent toujours mais plus pour longtemps, eh ch..., j'ai oublié de relancer mon compteur en repartant, j'ai bien enfumé un bon kilomètre et demi, tant-pis. La physionomie du terrain change donc, radicalement, finis les chemins bucoliques, voilà des trous, partout, pleins d'flotte et/ou de boue, et en plus ça commence à grimper un peu ? Pas mal en fait, pas très raide mais long et surtout tape cul, impossible de maintenir le rythme. Forcément, la forêt de Nuaillé à beau être grande, il a dû être difficile de tracer un quarante cinq, un cinquante six et même un soixante neuf (s'il vous plaît, c'est pas tous les dimanches qu'on en propose, bien du plaisir...) sans en sortir un peu.

Nous (quand j'dis nous en fait ça veut dire moi tout seul, c'est juste une tournure de phrase pour faire genre...) voilà donc désormais entrain de rouler sur les chemins fermiers qui relient les parcelles cultivés aux autres pour la plus grande satisfaction des paysans du coin mais pas de la nôtre, en effet, toutes ces allées sont empierrées, avec tout et n'importe quoi, surtout n'importe quoi, je trouve même à un moment un véritable pavage en autobloquant (sauf qu'à l'inverse de ce que l'on pourrait trouver dans un beau jardin, tous les pavés se disent merde et chacun d'eux fait ressortir au moins un de ses coins) au beau milieu de nulle part, c'est l'enfer du nord en pire j'en suis sûr (j'ai déjà roulé sur des vrais pavés, rien à voir) sous nos roues, j'ai le fessier en compote, les vertèbres qui ne se parlent plus, les cuisses dures comme la pierre à force d'appuyer comme un cinglé pour ne pas stopper et continuer à "survoler" les difficultés, pourvu qu'ça "dur" pas !

En fait, pendant encore une trentaine de kilomètres cela ne va être qu'une succession de ces secteurs cassants, de traversées de champs dans l'herbe fraîchement... pas coupée au profil défoncé par les sabots des vaches, d'ornières glissantes et crapoteuses et de longues ascensions. Et oui, ils ont fini par en trouver, du côté de Coron. Là j'en suis sûr ma moyenne est flinguée, j'ai beau appuyer, à chaque fois que je jette un oeil au compteur je vois quinze, seize, voire moins... Voilà de quoi en foutre un coup au moral et ce deuxième ravito qui n'arrive toujours pas, on m'a dit qu'il était à Vezin, ah ça y est, j'aperçois enfin le panneau d'entrée, et mais pourquoi on tourne ?

Et c'est reparti, le circuit est peu moins pire mais j'attendais ma petite collation avec une très grande impatience, vingt-six pour le premier (voilà la réponse pour ceux qui seraient encore à chercher le résultat de la règle de trois) et plus du double sans avoir trouvé le deuxième, c'est du grand n'importe quoi ! Ah ! Le voilà enfin, je baffre ma tranche de brioche, mon carreau de chocolat et deux verres de citronnade comme un glouton qui n'aurait rien avalé depuis deux jours et je repars. J'ai maintenant rejoins nombre de participants qui sont partis sans doute plus tard et certainement sur des circuits plus courts. Pendant très longtemps je n'ai rattrapé ni n'est été rattrapé par personne, deux membres du club organisateurs qui refaisaient le marquage au sol (quelle idée aussi de le faire à la chaux avec le temps qu'il a fait hier ! Franchement...) m'ont même indiqué à peu près à mi chemin que j'étais le premier sur le parcours (sans omettre une bonne mise en garde sur la dangerosité des chemins détrempés et très glissants).

Me voilà donc pris dans la foule des vingts et trente-cinq, sans compter les autres. Ca double à qui mieux mieux, ça coince aussi parfois mais ça sent l'écurie comme on dit et j'ai désormais retrouvé les chemins forestiers, roulants. Je vais finir à bloc derrière trois lascars qui ne s'en laissent pas compter, trente-sept à l'heure pendant les dix dernières minutes.

Me voilà enfin arrivé, après un peu plus de trois heures et demie, j'ai bouclé mes soixante-dix kilomètres, voire soixante et onze (et oui, faut pas oublier le compteur pas redémarré). Je regarde ma moyenne, dix-neuf... carrément ça m'troue l'c... j'ai enfin fait un soixante-dix, j'en essuierais presque une larme, snif, snif, mais non, ce n'est que l'eau chaude et bienfaisante de la douche qui coule.

Je ne prends pas le temps de manger (et pourtant ça sent super bon) car une poule au pot m'attend au bercail et il n'est pas trop tard, on va pouvoir la déguster en famille, je craignais le pire pour cette première fois, genre mettre une plombe de plus.

YES !

mardi 20 octobre 2009

J'ai eu chaud...

Sept heures trente, eh merde !

Je comptais bien sur la proximité de mon objectif du jour pour gagner un peu de sommeil ou à tout le moins un peu de cocooning en ce dimanche matin mais là j'ai un peu enfumé le réveil, certes une demie heure c'est pas la mort mais je vais être obligé de courir pour ne pas complètement me décaler et ça s'paiera tôt ou tard...

P'tit dèj' avalé en dix minutes, à peine plus pour me laver les crocs et enfiler mes fringues, une, deux, trois, combien de couches ce matin ? La météo a annoncé cinq et en général il fait toujours deux voire trois degrés de moins par chez nous...

Heureusement tout était prêt depuis hier après-midi, juste le spad a charger sur le porte vélo et ma carcasse dans l'auto... Ouah la vache ! Je ne m'étais pas trompé, ça caille vraiment, première sortie automnale, voire même hivernale, ça change des dernières semaines, il faudra ménager les muscles pendant les premiers kilomètres sinon...

Huit heures et quart, inscrit et prêt à rouler, pas grand monde d'arrivé pour l'instant, le froid y est sans doute pour beaucoup, je commence à mouliner, l'air est glacial, j'ai les doigts gelés et pas seulement eux, tout le reste aussi, les muscles sont durs, le souffle court, ça va vraiment être dur...

Depuis quelques kilomètres je suivais deux riders au rythme proche du mien, si ce n'était la bise qui me fait pleurer les yeux derrière mes lunettes dés que j'accélère un peu ou que le dénivelé passe un tantinet dans le négatif et me brouille la vue m'obligeant à ralentir sous peine de vautrage, je les aurais rattrapé depuis un moment mais voilà qui est fait à la faveur d'une épingle un peu technique suivie d'une petite relance. La discussion s'engage rapidement, ils me sentaient sur leurs basques depuis déjà un certain temps. La température de cette belle matinée ensoleillée est sur toutes les lèvres. Nous allons rouler de concert encore quelques minutes, moi derrière pour ne pas trop me taper l'incruste, mais leur allure ne me convient pas tout à fait. Dans une petite côte je me place en tête histoire de faire un peu l'effort à mon tour mais ils ne suivent pas bien longtemps, irais-je trop vite... on verra bien. A peine le temps de souffler qu'un petit raidillon apparaît au détour d'une nouvelle épingle, celui-là va faire faire mal mais pas question de ralentir, le coeur s'accélère, le sang afflue, je ne sens plus le froid hormis les arpions qui restent cruellement congelés, irais-je trop vite ?..

La pente diminue, nous sommes au sommet d'une petite butte, rien pour s'abriter du petit vent qui balaye les champs nus, je sens mes muscles qui durcissent et une barre en plein milieu du ventre, le voilà le p'tit dèj' avalé trop vite, il m'a rattrapé, une petite brume cache les premiers rayons du soleil, le sol est blanc et je ne tourne plus rond, mes deux ex compagnons sont revenus, puis repartis...

Les kilomètres qui suivent me paraissent longs, interminables, bientôt vingts bornes et toujours pas de ravito, j'ai besoin de m'arrêter un peu, de marcher pour rétablir la circulation dans mes pieds et manger un peu pour me refaire une santé et repartir d'un (je l'espère) bon pied.

Encore six mille mètres avant d'arriver à la pause, bon sang mais je suis à la moitié du parcours, c'est pas vrai qu'il n'y aura qu'un ravito sur un circuit de cinquante et un kilomètres ?!

Je suis vénère, j'avale tout sans dire un mot et je reprends le large. Tiens revoilà les collègues du début, une crevaison, ce n'est pas le premier que je vois entrain de réparer et sans doute pas le dernier, les chemins sont encore jonchés de la taille des haies, et les branches à terre dardent leurs épines traitresses. Ils ont ce qu'il faut, un salut rapide et je poursuit mon chemin, ils ne me rejoindront pas, la petite pause m'a bien requinqué je roule maintenant à une bonne allure...

Le parcours est plutôt agréable dans l'ensemble, pas trop de route, quelques difficultés mais pas trop, un peu de technique, cette randonnée du boudin se révèle plus agréable que dans mon souvenir. Mais qu'est-ce que c'est qu'ce raffut ? Holà, s'il continue à croiser sa chaîne comme ça il ne va pas finir lui, tout à droite d'un côté et tout à gauche de l'autre. Je me permets un petit conseil amical sur le risque de croiser de la sorte et la conversation s'engage, ça fait du bien, j'en profite pour souffler un peu et évoquer des souvenirs communs sur les précédentes randos ? Nous nous séparons bientôt, le quarante cinq file tout droit, je tourne, à nouveau seul. Je finis un peu à bloc avec le secret espoir de le rattraper avant l'arrivée, peine perdue, mais j'en ai remis une petite couche.

Voilà la salle, une bonne odeur de grillade nous accueille, le temps de laver le spad et j'irai me substanter. Un petit kir, un excellent boudin, parfait après quarante neuf bornes parcourues à la moyenne de vingts kilomètres pas heure.

Je récupère ma monture garée devant la porte... pneu avant à plat, j'ai eu chaud, heureusement la voiture n'est pas très loin, décidément c'est la loi des séries.

dimanche 11 octobre 2009

Euh...

L'affiche était alléchante, une randonnée en terres inconnues, la reprise pour certains des Tabayos nantais (oui je sais mais en même temps il n'est jamais trop tard ou trop tôt pour bien faire et quel plaisir de se retrouver ensemble pour rouler) et la venue annoncée d'au moins un angevin...

Rendez-vous fixé par Juju à huit heures et quart, j'ai préparé toutes mes affaires hier, tout était chargé dans l'auto, je m'extrais du lit vers sept heures et à sept heures trente je suis sur la route, quarante minutes si tout va bien pour relier le point de départ et en effet trois quarts d'heure plus tard je suis fin prêt et visiblement bon premier, les autres ne vont sûrement pas tardé à arriver...

Je tourne un peu pour tenter d'en apercevoir un et au bout de cinq minutes je me décide à entrer dans la salle pour voir les parcours proposés et m'inscrire (ce sera ça de moins à faire tout à l'heure et nous serons toujours un de moins à faire la queue), vingts, trente-cinq et cinquante, vu depuis le temps que les collègues n'ont pas roulé, je mise sur le moyen, on verra bien...

Je ressorts et aperçois bien vite Caïus, petite chambre sur son retard et comme pour se défendre il vend sans vergogne et sans délai ses deux camarades qui seront d'après lui bien à la bourre pour cause de pont de Cheviré fermé... mais c'est pas leur route ? bref...

Nous partirons finalement vers neuf heures moins le quart après avoir avalé un café et une tranche de brioche (enfin Caïus et moi car les autres sont arrivés trop tard et toc). Le parc qui sert de point de départ est très agréable, à tester à nouveau à pied en famille peut-être.

Nous voilà donc sur les chemins herblinois, on sent qu'il a plu cette semaine, c'est humide et gras par endroit. Quelques kilomètres seulement après être partis, notre Pierrot pète un câble ou plutôt une des gâchettes de son shifter droit, il ne pourra plus que jouer sur les plateaux, heureusement la chaîne n'est pas trop mal placée, il pédalera un peu dans la choucroute si on trouve des portions roulantes mais il pourra croiser sans risques de casse et ne bloquera pas si de bonnes patates se présentent.

Nous continuons donc en essayant de ménager notre éclopé. Nous ne trouverons pas, ou quasiment, de grosses difficultés, une montée bien caillouteuse, quelques gués mais rien de bien méchant, rien à voir avec ma précédente sortie à Ancenis. Le pauvre Pierrot va connaître un autre déboire sous la forme d'une crevaison et Caïus un gros coup de mou sur la fin du parcours (lui qui se disait prêt pour cinquante fut bien content de n'être parti que sur le trente-cinq). Juju quand à lui à montrer une bonne condition physique, prenant ma roue lorsque j'accélérais un peu et me provoquant sur une ou deux bosses, il n'était d'ailleurs pas loin derrière quand sur les derniers kilomètres nous avons jouté avec des p'tits bonshommes tout de bleu vêtus aux couleurs de Bouygues Telecom (qu'étaient-ils donc venus se perdre par là ?), y compris sur le sprint d'arrivée.

Au final, trente-trois kilomètres à la moyenne hallucinante de dix-sept à l'heure... sans commentaires. Cette rando est idéale pour une reprise ou une sortie entre potes pour s'amuser. Le fléchage était impeccable, un gros bémol sur le repas au retour, inexistant, un sandwich au pâté (rare) à manger debout, bof, bof (je sais qu'on ne vient pas pour ça mais quand même).

dimanche 4 octobre 2009

Dur, dur...

Comment s'améliorer sans pousser un peu plus loin ses limites ? Difficile me direz-vous et dans le même temps il faut ménager la chèvre et le choux (désolé pour l'image), j'entends par là la vie de famille. Il faut faire plus de kilomètres mais ne pas rentrer plus tard pour autant. J'espère bien qu'avec le temps j'y arriverai, allonger les distances sans rallonger les délais mais cela ne se fera pas du jour au lendemain, désolé Mimi...

Ce matin donc pour ménager cette sacrée chèvre et ce fichu choux, je me suis levé à six heures comme si je devais partir bosser (tout en ayant préparé toute mes petites affaires hier soir pour ne pas perdre de temps, même le chargement était fait), puis je me suis tapé une grosse demi heure de voiture pour atteindre Ancenis, car c'est de là que j'avais décidé de partir. Mais rien ne sert de courir, il faut partir à point, car à sept heures du mat' en ce moment... he be il fait encore noir. Du coup je suis parti un peu à l'aveuglette et je me suis déjà planté à peine avais-je parcouru cinq cents mètres, ça commençait fort, tout ça pour gagner du temps et pouvoir rentrer plus tôt tout en ayant roulé au minimum cinquante bornes.

Heureusement, le jour a commencé à poindre rapidement et vers huit heures on y voyait grand clair, juste pour attaquer la première difficulté de la matinée (je ne précise pas grosse car il n'y a eu que ça aujourd'hui). En effet pendant quatre ou cinq kilomètres, le circuit était roulant et plat, idéal pour chauffer les muscles tranquillement mais lorsque j'ai aperçu le mur (the first and not the least), j'ai compris que la matinée allait être longue, très longue.

Pour ceux qui connaissent, tout le parcours a suivi la corniche angevine (qui ici ne s'appelle plus comme ça mais n'en garde pas moins tous les attributs) et je soupçonne les organisateurs de n'avoir eu qu'une seule obsession pour le tracé, tout faire pour qu'à une grosse patate succède un autre bon tubercule... et ils y sont parvenus. Les descentes n'étaient là que parce qu'il n'y avait pas le choix, il faut bien en passer par là pour remonter et les zones de plat juste assez longues pour relier les côtes.

Pour ce qui est des côtes, les chemins sélectionnés étaient ceux qui, bien entendu, partaient du plus bas pour atteindre les sommets avec le critères suivant : être en plein travers de la corniche, surtout pas en biais ce qui aurait eu pour effet de limiter les pourcentages. Depuis plus d'un an, je n'utilisais plus mon petit plateau et je n'en étais pas peu fier, mais ce matin, j'ai remercié le ciel que mon dérailleur accepte encore de faire passer ma chaîne dessus car je n'aurai pas fini autrement.

Parti sur le cinquante-cinq, j'ai finalement opté en cours de route pour le quarante-cinq car je ne me sentais pas de finir avec dix bornes de plus. Au final j'ai terminé avec cinquante au compteur et seize de moyenne et c'est bien payé croyez moi. Pour vous donner une petite idée des pentes, l'une d'elles se prenait à l'aller et au retour d'une boucle technique (c'est à dire un énorme portage avec une corde pour s'aider à monter), tout en freinant pour ne pas risquer de percuter un collègue entrain de grimper, j'ai atteint un peu plus de soixante-sept kilomètres par heure dans la descente...

Cette randonnée d'Ancenis est assurément pour les gros physiques qui n'ont pas froid aux yeux, il y a très peu de bitume, un maximum de chemins souvent techniques avec des zones de franchissement coriaces pour qui n'a pas les jambes et l'expérience, les paysages sont agréables (voir un couple de montgolfières s'élever tranquillement dans les airs au dessus des côteaux alors que l'on roule au milieu des vignes avouez qu'il y a pire, sans parler des bords de Loire) et sans aucuns doutes, on ne peut que progresser à rouler sur ce genre de sortie.

Je vous invite donc à la noter sur vos tablettes pour l'année prochaine.

J'en profite pour dire un grand merci aux organisateurs, participants et spectateurs qui partagent avec nous leurs photos (n°44 et 198, c'est ça de faire des grandes boucles, on a plus de chance de se faire photographier et vu les vitesses folles que nous atteignons, normal qu'on se fasse flasher), c'est toujours aussi sympa de se revoir, souvenir, souvenir...

lundi 28 septembre 2009

Le sort s'acharne...

Pour la quatrième semaine consécutive je suis à plat, vidé, enfin quand je dis moi, il s'agît plus exactement de mon pneu arrière...

Incroyable, cela ne m'était encore jamais arrivé une pareille série noire. Par trois fois de superbes épines sont venues se planter dans mon pneu et traverser ma chambre à air. Heureusement pour moi elles étaient tellement grosses qu'elles sont restées planté dedans et du coup le pneu s'est dégonflé tout doucement, me laissant le temps de finir mes sorties, à part hier où j'ai été contraint de regonfler un peu à deux reprises. La quatrième fois je ne suis pas sûr mais je pense qu'il s'agît d'un défaut de la valve, là encore une petite fuite dont je ne me suis d'ailleurs aperçu que le lendemain comme pour les autres (sauf celle d'hier bien entendu).

Cela ne m'a donc pas empêché de faire de belles sorties ces dernières semaines et celle d'hier était du même acabit. Un très beau parcours qui pour une bonne part se confondait avec celui de la semaine dernière mais avec malgré cela beaucoup de découvertes.

Le parcours était très vallonné, pour ne pas dire plus et très technique, à ne pas forcément mettre sous toutes les roues. D'ailleurs sur les derniers kilomètres j'ai entendu beaucoup de plaintes, des riders qui se plaignaient des nombreux portages successifs. Voilà bien une chose qui me gâche une sortie encore plus qu'un balisage défaillant ou un kilométrage largement sous estimé, des portages à n'en plus finir, des qui cassent bien les pattes, des qui te font te demander si tu t'es pas planté au départ, si t'es pas sur le parcours fléché pour la randonnée pédestre en fait...

Il n'en reste pas moins que je recommande chaudement cette rando pour ses futurs éditions. Je la place entre une Rochefortiche et une Bouchemaine, c'est tout dire...

J'en profite pour dire un grand merci aux organisateurs, participants et spectateurs qui partagent avec nous leurs photos, c'est toujours aussi sympa de se revoir, souvenir, souvenir...

dimanche 20 septembre 2009

En fait, si...

Comme prévu au programme du team, ce matin, direction Haute-Goulaine.

Réveil un peu difficile mais sans plus malgré une soirée fort sympathique avec Juju, sa chère et tendre et un de leurs amis.

Debout à sept heures avec comme objectif d'être à huit au départ. Le sort en a malheureusement décidé autrement, au moment de charger le spad dans l'auto, je m'aperçois que mon pneu arrière est à plat, super juste avant de partir...

Un quart d'heure après, tout est chargé dans le vésicule (je n'ai jamais été aussi vite à remplacer une chambre à aire, heureusement que j'en avais réparé deux la semaine dernière...).

Arrivé à Haute-Goulaine un poil plus de vingts minutes après, je découvre les parcours qui s'offrent à moi, cinquante ou soixante-deux. Je décide de ne rien décider et de voir à quel moment on me demandera de choisir et dans quel état de forme je serai alors. Je m'équipe, j'enfourche mon fidèle destrier et c'est parti pour quelques heures de pédalage.

Les dix premiers kilomètres s'étalent dans les bois, vignes et marais alentours, un tracé qui apparaît déjà technique bien que peu valonné (et certains s'en plaignent déjà, je les entend maugréer lorsqu'ils me doublent, ben oui ils me doublent et alors, rira bien qui aura encore des jambes dans une heure ou deux car la direction que nous suivons nous entraîne vers du beaucoup plus costaud, les coteaux de la Sèvre du côté de Chateau Thébaud et la Haye Fouassière).

Les paysages sont très agréables, le temps impeccable, ni trop chaud ni trop froid et pas d'eau, même les dernières pluies pourtant assez abondantes n'ont pas réussi à transformer les chemins en bourbiers, tout est sec ou caïman. Mais voilà que s'annoncent les bords de sèvre et les montés se succèdent, heureusement suivies de belles descentes que nous arrivons parfois à prendre à bonne allure. Parfois car une autre rando se déroule sur le même terrain de jeu mais pas dans le même sens... Cela me sauvera la vie un peu plus loin car au beau milieu de l'une d'elles je vais tomber nez à nez avec un tronc en plein travers du chemin, juste à hauteur de ma tête et après un petit virage sans visibilité. Sans la hantise d'une éventuelle confrontation avec un autre VTTiste ou marcheur j'aurais certainement été largement plus vite et mal. Un gros manque d'avertissement sur ce coup là. Pourtant le reste du parcours était bien balisé (comme quoi c'est possible).

Le choix de la longueur de la sortie arrive enfin, j'en suis à trente et il me faut me décider entre cinquante et soixante-deux. Le ravito avalé en quatrième vitesse à une sale tendance à me cailler sur le jabot et je suis assez loin de la maison, il serait sans doute plus raisonnable de partir sur le moins long, ce sera bien pour ce matin. A peine le temps de le dire et me voici à quarante et je vois débouler ceux qui ont choisi le plus long, l'espace d'un instant je me dis que j'aurais pu choisir cette option également mais mieux valait la jouer fine.

La suite me donnera amplement raison, les kilomètres défilent et voici que j'approche du but, mon compteur que je considère comme fiable (au moins pour ce qui est des distances parcourues) m'indique cinquante mais l'arrivée n'est pas en vue. Non seulement elle n'est pas en vue mais je vais encore rouler presque cinq bornes de plus avant de revoir la salle et Titine.

En fait il y a une chose que je déteste, peut-être pas plus mais au moins autant qu'un balisage minable, c'est un kilométrage au lance pierres. Surtout que ce petit supplément s'est révélé bien costaud et en plus commun avec les plus petits tracés ce qui fait que ça bouchonnait beaucoup.

Je garde malgré tout une bonne image de cette randonnée, que je ne referai sans doute pas l'année prochaine puisqu'elle tombe le même week-end que les Roch's. Je vous la recommande tout de même. Au final, cinquante cinq kilomètres en trois heures, presque la même chose que la semaine dernière sur un parcours plus exigeant, on tient le bon bout.

dimanche 13 septembre 2009

Que d'aventure...

Je ne sais pas vous mais moi rien ne m'agace plus qu'un balisage de daube sur une randonnée (si, quatre-vingt dix pour cent de bitume et le reste en terre).

Pas plus tard que ce matin, j'y ai encore eu droit...

Parti de chez moi de bon matin (soit vers huit heures, ce qui est déjà pas mal pour un dimanche matin je trouve), je me fait une petite liaison vers le départ de la randonnée sur laquelle j'ai jeté mon dévolu. Dix bornes plus tard, j'éprouve déjà des difficultés à trouver la salle. Des marcheurs m'indiquent enfin que je ne suis qu'à une encablure de mon objectif mais hélas que eux aussi sont déjà paumés faute de balisage suffisant (mauvais présage).

Une fois la salle trouvée, pas une carte, pas un plan, pas un itinéraire d'affiché, super pour faire un choix de parcours... Tant pis, je verrai bien en route. Sur le journal gratuit qui nous annonce les randos du coin chaque semaine, j'ai lu qu'il devrait y avoir un vingt et un quarante cinq ? Ce dernier sera peut-être un peu costaud mais on verra bien une fois lancé selon la forme...

Me voici donc chevauchant mon fidèle destrier sur la piste (ou plutôt le jeu de piste), le balisage s'avère effectivement aussi peu efficient et présent pour nous VTTistes que pour les marcheurs. Heureusement je suis sur mes terres...

Cinq kilomètres plus loin, j'ai parcourus le même circuit qu'il y a quinze jours et la bifurcation que l'on me propose ne me dit rien qui vaille, si j'en crois mon sens inné de l'orientation, par là il ne me faudra pas plus de trois quarts d'heure pour être de retour à mon point de départ... Mais qu'est-ce que c'est que ce bronx ?! Je n'ai pourtant vu aucune pancarte avant celle-ci. Il doit y avoir une variante c'est pas possible, je décide donc de continuer un peu et quelques hectomètres (comme ils disent sur le tour de France, parce qu'il n'y a que là qu'on cause comme ça) plus loin je tombe sur un autre type de balise... Ha je savais bien qu'il y avait une variante ! Ca doit être un trente ou le quarante cinq...

La physionomie du parcours change du tout au tout, mes repères disparaissent, enfin de la nouveauté, autant pour moi les gars finalement elle n'est pas si mal vot' rando, voire même franchement bien, je découvre des chemins insoupçonnés, des bois et des parcs improbables aux singles tortueux et vallonnés, joueurs et sauteurs, que du bonheur et ça dure !

Encore une quinzaine de bornes et voici une bifurcation, à gauche trente cinq ou cinquante et un, à droite vingt cinq, quarante cinq ou soixante et un (je ne m'attendais pas à un pareil choix mais bon, on ne va pas se plaindre ?). Un rapide calcul, j'ai déjà dix bornes allé et dix retour, le quarante cinq me semble plus que raisonnable mais j'ai les jambes et au pire je couperai à travers en revenant par chez moi. Le choix auquel je m'attendais depuis le départ est vite fait, ce qui me surprend un peu plus, ceux sont les initiales du club organisateur qui n'ont rien à voir avec la ville d'où je suis parti ?...

Les kilomètres suivants me font vite oublier mes interrogations, un pur régal de VTTiste mais bien vite (enfin une heure plus après quand même) la dure réalité se rappelle à moi, me voilà arrivé au bout du balisage que je suivais depuis près de deux heures et je ne suis pas du tout dans la bonne ville... Cinq kilomètres après le départ, j'ai suivi le marquage d'une deuxième randonnée qui croisait celle que j'avais commencé.

Au final je ne regrette rien, j'ai découvert un nouveau terrain de jeu et j'ai fait soixante bornes à un bon rythme (dix-huit et demi), pour moi... mais j'ai sûrement échappé au pire car j'aurai pu faire bien plus de chemin sur l'autre rando et me retrouver cramé. Tout ça à cause du balisage nullissime de la première organisation.

dimanche 5 juillet 2009

Branche dissidente des Lords Of The Rides, Les Tabayos mènent des actions en dehors des Folies malviennes qui sont l'objectif unique des LOTRs. L'identité et le nombre des membres sont inconnus (même pour eux). Leur motivation avouée est de rouler à VTT entre potes aussi souvent que possible en prenant un maximum de plaisir avant, pendant et après.

LES OPERATIONS DU TEAM...


Qui nous aime nous suive, non seulement nous revendiquerons nos actions mais nous les annoncerons afin que chacun sache où nous allons frapper et ne soit pas pris par surprise, à bon entendeur...


2011

23/10/2011 - Saint léger sous Cholet
La rando du boudin...

16/10/2011 - Saint Sébastien
Ben une rando...

09/10/2011 - Mouzillon
Rando moules

02/10/2011 - Torfou
La rando d'automne

25/09/2011 - Gorges
La clissonnaise

17 et 18 septembre 2011 - Huelgoat
Les Roc'h des Monts d'Arrée

18/09/2011 - Haute Goulaine
Entre marais et vignoble (Francky et Juju aux Monts)

11/09/2011- Beaupréau
Randonnée du coeur des Mauges

10/09/2011 - Nantes
NantesBikeNight, une course éliminatoire sur l'île de Nantes (juste à voir).

04/09/2011 - Mauléon
La rando du même nom et pis c'est tout.

28/09/2011 - Saint André de la Marche
La rando du même nom et pis c'est tout.

03/07/2011 - Saint Pierre Montlimart
Le Mont rebel, troisième et dernière étape du TransMauges 2011

29/05/2011 - Saint Germain sur Moine
La Méduana, deuxième étape du TransMauges 2011

24/04/2011 - Le May sur Evre
Le raid Déraillé, première étape du TransMauges 2011

10/04/2011 - La Renaudière
Forcément

2010

31/10/2010 - Gâvre
Le chêne au Duc, seul rando autorisée en forêt du Gâvre

26/09/2010 - Sillé le Guillaume ou Clisson
La Gamelle Trophy (c'est loin !) ou la Clissonnaise ?

17/18/19 septembre 2010 - Huelgoat Les Roc'h des Monts d'Arrée
Rando/Raid au coeur du Finistère

12/09/2010 - Beaupréau
La rando du coeur des Mauges

05/09/2010 - Saint Crespin sur Moine
La randonnée des vignes (tout est dit)

04/07/2010 - Saint Pierre Montlimart / Montrevault
Le mont rebel, tout un programme

11, 12 et 13/06/2010 - Mauves sur Loire
Les folies malviennes derrière l'APN, la caméra et le clavier, allez les Lords !

06/06/2010 - Saint Germain sur Moine
La Méduana, crotte, fallait s'inscrire à l'avance pour le raid... dégouté !

30/05/2010 - La fête des mères
A la maison avec femme et enfant

24/05/2010 - La Renaudière
Fallait bien rouler quand même...

23/05/2010 - Saint Georges de Montaigu
La fameuse rando des Bushmaines, aïe ! Annulé pour cause de déplacement à Poitiers.

16/05/2010 - La Renaudière
A moins qu'autre chose se présente d'ici là...

08/05/2010 - Les Herbiers - La Puyfolaise
Le mont des Alouettes, montées et descentes à volonté !

01/05/2010 - Rando du 1er mai
Voilà qui est original, ce sera sur des chemins connus, Roussay et avec de la chance inconnus.

25/04/2010 - Rando des Till'pattes
Sur Tillières, faite l'année dernière, à ne pas manquer.

18/04/2010 - Ben m'alors, rien ? Ouh la honte, c'est la rando de La Renaudière bien sûr !
Ca va viendre j'en suis sûr ! Je veux mon n'veu !

11/04/2010 - La Randomagnonne
C'est-y pas mignon ça et pas loin en plus.

04/04/2010 - La maison
Faut bien commencer par quelque part et vu l'entraînement, mieux vaut ne pas être trop loin de l'écurie...

2009

20/12/2009 - Beaupréau
La Bûche ?

13/12/2009 - Gétigné
Sèvre nantaise

06/12/2009 - Sainte Luce
La Lucéenne (vignes, Loire, plaine maraichère...)

29/11/2009 - Torfou
La Torfousienne

22/11/2009 - Moulin
Côteaux de Sèvre niortaise

15/11/2009 - Montfaucon/Montigné (presque la maison)
La Coulée des moulins (vignes et côteaux de Moine)

07/11/2009 - Saint Michel Mont Mercure
La culminante, tout un programme autour du point culminant de la région...

01/11/2009 - La maison
On peut quand même pas être sur nos spads sans arrêt... pis d'toutes façons 'y a rien alors !

25/10/2009 - Nuaillé
Rando du massif forestier

18/10/2009 - Saint léger sous Cholet
La rando du boudin (ouais je sais mais c'est pas loin...)

11/10/2009 - Saint Herblain ou Mouzillon
Rando moulins et marais ou Randomoules (avec moules frites à l'arrivée...)

04/10/2009 - Ancenis
Côteaux de Loire

27/09/2009 - Clisson
Vignes et côteaux de Sèvre

20/09/2009 - Haute Goulaine
Rando entre marais et vignes

13/09/2009 - Villedieu la Blouère
Rando en Mauges

06/09/2009 - Mauléon
Rando au long des coteaux de la Sèvre niortaise

30/08/2009 - Saint André de la Marche
La même en couleur

23/08/2009 - Saint Macaire
Rando en Mauges